Le Déterminisme du choix

Le Déterminisme du choix

Modalité Opérative

Idéogramme conceptuel

Idéogramme fonctionnel

Nombre guide

 

Choisir, c’est créer.

Le Déterminisme du choix place l’individu comme acteur et créateur conscient dans la transformation de sa propre trajectoire. C’est un concept qui met l'accent sur le pouvoir transformateur de nos décisions, véritables actes créateurs qui sculptent notre avenir.

Dans le Déterminisme du choix posœnnoïal, chaque décision devient ainsi un vecteur d’oscillation qui propage sa dynamique dans l’ensemble du système. Le déterminisme n’est pas ici une fatalité subie, mais une causalité active et transformatrice. Par l’acte de choisir, l’individu crée de nouvelles chaînes vibratoires de causalité, modifiant l’architecture même des interactions. Chaque choix est ainsi un germe de recomposition vibratoire du réel.

Modèle d’interactivité des éléments :

·         Piliers activés :

o    Péroptissimisme : dépasser l’indécision et activer la dynamique créative dans le saut de choix.

o    Aliœvolution : intégrer l’altérité pour transformer les décisions en croissance adaptative.

o    RéZonans : capter les signaux vibratoires du contexte pour ajuster la direction.

o    Illusion : déjouer les filtres perceptifs et ouvrir la conscience des angles morts cognitifs.

·         Outils mobilisés :

o    Superposition de perspectives : chaque décision est nourrie de regards multiples.

o    Instantané multiple : la simultanéité des possibles est perçue au moment critique du choix.

o    Addition synchrêtique : le choix synthétise des éléments hétérogènes en une action créatrice cohérente.

1. Positionnement vis-à-vis des autres philosophies et courants

Le Déterminisme du choix posœnnoïal réinterprète plusieurs grandes traditions philosophiques et scientifiques en amplifiant la fonction créatrice et vibratoire de la décision :

·         De l’Existentialisme (Sartre), qui insiste sur la liberté radicale du sujet, condamné à choisir et à assumer la création de son propre projet d’existence. Le Posœnnoïsme partage cette responsabilité du sujet en y ajoutant une dimension vibratoire : chaque choix n’est pas seulement un acte d’auto-définition, mais un générateur actif de nouvelles chaînes causales vibratoires qui influencent l’ensemble du système.
Le sujet néotaxie 1 le réel, le rendant aliœvolutif 2.

·         Du Stoïcisme (Épictète, Marc-Aurèle), qui enseigne la maîtrise de soi face aux événements extérieurs qu’on ne contrôle pas. Le Déterminisme du choix posœnnoïal ajoute un cran en plaçant l’individu comme acteur modifiant son environnement par ses décisions : loin de se limiter à la gestion intérieure, le choix génère des ondes de transformation qui affectent les structures du système lui-même.

·         Du Constructivisme pragmatique (Dewey), qui affirme que nos actions et choix reconstruisent progressivement nos environnements sociaux et éducatifs.
Le Posœnnoïsme approfondit cette idée : chaque choix est une oscillation créatrice, une reconfiguration vibratoire du champ systémique global, non simplement un ajustement de circonstances.

·         De la Physique quantique (théorie des mondes multiples), où chaque décision ouvre une bifurcation de réalités parallèles coexistantes. Le Posœnnoïsme s’en inspire, mais ne s’arrête pas à la cohabitation passive des possibles : chaque choix posœnnoïal crée activement de nouveaux flux vibratoires interactifs qui modifient la texture même des possibles, recomposant dynamiquement les trajectoires évolutives.

·         De la Psychologie cognitive de la décision (Kahneman, Tversky), qui identifie de nombreux biais affectant nos choix. Le Déterminisme du choix intègre la notion de filtres perceptifs (Illusion), mais propose une prise de conscience active des biais pour transformer chaque choix en nœud vibratoire de recomposition cognitive, ouvrant la voie à des ajustements créatifs du système de perception lui-même.

Tableau récapitulatif

Référence

Principe central

Position du Posœnnoïsme (Déterminisme du choix)

Existentialisme (Sartre)

Liberté radicale du sujet qui doit choisir et assumer sa trajectoire.

Partage la responsabilité du sujet, mais ajoute : chaque choix est un générateur actif de chaînes causales vibratoires ; le sujet devient producteur de résonances évolutives dans le système.

Stoïcisme (Épictète, Marc-Aurèle)

Maîtrise de soi face aux événements extérieurs inévitables.

Va plus loin : chaque choix génère des ondes de transformation qui modifient activement l’environnement et les structures systémiques.

Constructivisme pragmatique (Dewey)

Les choix reconstruisent progressivement les environnements.

Approfondit : chaque choix devient une oscillation créatrice qui reconfigure vibratoirement l’ensemble du champ systémique global.

Physique quantique (mondes multiples)

Chaque décision ouvre une bifurcation de réalités possibles.

Intègre mais dépasse : le choix crée activement de nouveaux flux vibratoires interactifs, modifiant dynamiquement la texture même des possibles.

Psychologie cognitive de la décision (Kahneman, Tversky)

Les choix sont biaisés par des heuristiques inconscientes.

Intègre les biais (Illusion), mais propose une prise de conscience active des filtres ; chaque choix devient un nœud vibratoire de recomposition cognitive.

 

2. Fonction structurante dans la pratique posœnnoïale

·         En Méditations Posœnnoïales : explorer vibratoirement la charge créative de chaque décision envisagée.

·         En Création artistique Posœnnoïque : mettre en scène des bifurcations narratives, des choix de matériaux ou de ruptures qui reconfigurent l’œuvre en expansion permanente (exemple des œuvres prolongées).

·         En Réflexion philosophique Posœnnoïale : penser le choix comme un acte ontologique de reconfiguration du réel.

Son nombre-guide 19, souvent perçu comme la fin d’un cycle majeur et l’entrée dans un nouveau palier d’évolution, combine le 1 (initiation, commencement, création), et le 9 (accomplissement, sagesse, intégration des cycles passés). Dans le Posœnnoïsme, il symbolise le seuil créateur, où chaque choix devient à la fois l’aboutissement d’une histoire et le point de démarrage d’une expansion nouvelle. Chaque choix est ainsi ondulation de causalité qui irrigue le système de ramifications dynamiques insoupçonnées.

3. Le déterminisme du choix : une journée à l'image d'une partie d'échecs

Le « Déterminisme du choix », peut être comparé à un jeu d'échecs, en prenant le réveil matinal comme point de départ et en considérant le « hier » comme étant sans impact pour simplifier la comparaison. Chaque partie représentant une journée, l’issue étant le sommeil en fin de journée. Chaque mouvement sur l’échiquier représente une décision stratégique entraînant des conséquences immédiates et à long terme et sur l’issue du jeu : 

·         Le pion comme premier pas :

Chaque décision commence par une action apparemment simple ou basique, représentée par le déplacement d'un pion. Ce choix peut paraître insignifiant au début, mais il influence la structure globale de la partie. De manière consciente ou inconsciente, une action initiale résonne à travers les autres dimensions décisionnelles. 

·         L’anticipation des conséquences :

Un bon joueur d’échecs visualise les scénarios possibles plusieurs coups à l’avance. Chaque mouvement n’est pas seulement une réponse au présent, mais une projection dans l’avenir. De même, chaque choix vibre dans le futur, influençant les développements à venir. Certes, on ne peut, certainement pas, tout prévoir, mais le travail sur soi et le développement de la perception multiple qui sommeille en nous, ouvrent des perspectives à qui fera l’effort de la réveiller. 

·         Les interactions dynamiques :

Sur un échiquier, les pièces interagissent constamment. Un déplacement du cavalier peut débloquer une stratégie pour la tour, ou exposer une faiblesse dans la défense. Un petit roque peut sauver le roi quand bien même cela mettrait la dame en péril. Cela évoque l’harmonie mouvante où les éléments interagissent pour créer une dynamique interactive. 

·         La victoire comme objectif évolutif :

Aux échecs, l’objectif est de mettre le roi adverse échec et mat. Pourtant, ce but est atteint à travers une série complexe de mouvements stratégiques et contrariés. Le « déterminisme du choix » repose sur une finalité claire, mais le chemin pour y parvenir reste adaptatif, ouvert à l’interaction et à l’imprévu. L’adaptation à l’imprévu est alors proportionnelle à la capacité d’anticipation. 

·         Les règles comme structure essentielle :

Comme au basket, les règles d’un jeu d’échecs ne sont pas des contraintes, mais des cadres qui définissent le champ des possibles. L’équilibre, la vision et l’adaptabilité sont au cœur de cette dynamique, où chaque décision trace un chemin vers le but fixé. Le cap, qui se construit par interaction entre anticipation et perception du réel.

 

Le Déterminisme du choix est une puissance transformatrice de la volonté active. Chaque décision, loin d’être une simple réponse à un contexte, devient un acte poïétique qui modifie la structure même du champ de réalité du sujet pluriel. Dans la dynamique posœnnoïale, le choix est une articulation vibratoire qui redistribue les flux d’interaction, amplifiant la conscience des responsabilités dans le façonnage du réel.

 

1- Néotaxie : capacité à reconfigurer l’ordre sans rupture brutale, en adaptant dynamiquement les structures préexistantes.

2- Aliœvolution : transformation évolutive par intégration de l’altérité dans un processus fluide, enraciné et interactif.

 

 

Propriété intellectuelle Goodÿ (Gilles EUGENE) -  © ADAGP Paris 2024.

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